Avant de repartir, j‘ai demandé au guide où ça bougeait le soir en ville. Alors, avant d’aller guincher, on est allé dans un resto histoire d’essayer un plat un peu différent : On trouve de la baleine (importée car pas de pêche dans le coin), alors en ragoût ça a le goût de… bof, de foie de veau. Très particulier. Les vieux sont allés se coucher et on a commencé à faire la tournée des bars. Il faut savoir qu’en Norvège l’alcool coûte très cher, sauf au Spitzberg car détaxé, donc ils se mettent tous deker. Quand je dis que l’alcool coûte moins cher ici, il faut relativiser, c’est quand même 6-8 euros la bière. C’est comme en France, en fonction de l’heure, il faut être dans un bar, après il faut changer. T’arrives devant le bâtiment où est la boite mais il y a aucune voiture. Tu te dis, il va y avoir personne. Mais non, car le Norvégien ne conduit jamais quand il boit, donc ils viennent tous en taxi. Et pour 1500 habitants, il y a plusieurs taxis !!

Dressing code pour rentrer en boite : aucun !! Cool !!

Concernant les norvégiennes, à part une ou deux très jolies, tu vois qu’elles descendent des vikings. Assez carré des épaules et pas particulièrement mince. Ça aurait été en plein hiver, je me serais dis que c’est pour faire des réserves, mais à la fin de l’hiver, en principe, on a vécu sur ses réserves et on devrait être mince. Ça doit être la bière. Le mythe de la norvégienne en prend un sacré coup.

Par contre c’est vrai qu’elles ne se la pètent pas contrairement à nos françaises et ce sont même elles qui vont discuter avec les mecs.